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Live Seven Lives

Accessibilité
95%
Dangerosité
25%
Etat
65%
Intérêt
50%
“Quand l’émission faisait scandale, les boîtes elle, restaient dans l’ombre dans leurs profits. ”

Même sans la crise sanitaire beaucoup de bar, boites de nuit et stripclubs ont fermés bien avant. Ici, ces deux établissement se côtoyaient dans un timide voisinage totalement divisé dans deux univers totalement différents.

DÉCOUVERTE

Alors que nous nous apprêtions à explorer un autre lieu situation juste en face de ces tavernes, nous avons été brièvement prévenu par un voisin que le spot visé était très risqué à cause de son propriétaire violent qui n’hésitait apparemment pas à en venir aux mains pour virer les gens. Donc nous avons jeté notre dévolu sur ce bâtiment qui semblait lui aussi abandonné mais qui se révéla être un ancien bar/stripclub et juste à côté un café délaissé.

HISTOIRE

Situé tous deux dans une ancienne ferme flamande qui fut probablement construite vers 1890, la boite ouvrit ses portes dans les années 1970 bien avant le bar qui lui fut déguster ses premières bières dans les années 1980. Alors localisé au bord d’une grande et longue route très fréquenté reliant deux villes moyennes importantes de la Belgique, ces deux établissement, comme beaucoup d’autres, eux aussi fermés de nos jours, notamment celui qui nous intéressait à la base, faisait la joies des routiers, automobilistes et autres voyageurs durant près de trente à quarante ans sans jamais faillir à leur tâche.

Malheureusement, à partir des années 2000 avec la multiplication auparavant des autoroutes, la fréquentation baissait fortement et c’est vraiment au milieu des années 2010 que beaucoup fermèrent pour ne laisser que des bâtiments décrépis au bord de routes où la fréquentation ne baisse pas, mais où le bruit reste insupportable.

IMPRESSION

Techniquement, deuxième boite de striptease visitée et shootée. C’est toujours quelques choses d’assez intriguant mais aussi quelque peu dégoutant quand on visite les chambres, mais bon point, ici elles étaient vides. Ce qui importait beaucoup, c’était vraiment le bar et sa barre de pole-dance juste en face, ce qui devait, pour le barman, laisser une belle vue en toutes circonstances (ou pas). Le second bar, quant à lui, semblait avoir été rénové dans un style très cosy assez répandu en Belgique, ce qui donnait réellement envie de s’y poser devant une bonne pinte.

Merci à Corentin. 

© Les photos présentes dans cet article sont protégés par le droit d’auteur.

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