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Jungle Car’s

Accessibilité
100%
Dangerosité
45%
Etat
60%
Intérêt
70%
“Dans la jungle tu attendras, un 5 ou un 8 te délivrera.” Jumanji

Un peu par hasard, c’est pratiquement toujours en hiver ou quand il fait mauvais que nous tombons sur des cimetières d’automobiles en extérieur… Le ciel n’est jamais à notre avantage photographiquement parlant et le sol est bien souvent humide, donnant un aspect différent sur les photos, mais bon, nous trouvons toujours des petites pépites.

DÉCOUVERTE

Très répandus, ces terrains remplis d’autos sont monnaie courante mais souvent difficiles d’accès ou rapidement vidés. Cependant, ils restent souvent populaires dans les quartiers où ils se trouvent.

HISTOIRE

Bien évidemment, ce genre de terrain ne possèdent pas vraiment d’histoire, il est aussi pratiquement impossible de retracer l’historique de chaque voiture, pratiquement aucune ne possédait de plaques d’immatriculation et quand bien même, c’est assez galère juridiquement parlant de s’y renseigner, il faudrait pouvoir expliquer pourquoi on s’y intéresse, et évidemment, on évite.

C’est pourquoi, nous allons nous contenter de les identifier car il y avait de beaux modèles quand même, et d’autres bien honteuses, comme cette pauvre 406 coupé massacrée pour le tunning…

On pouvait donc y retrouver un Land Rover 88 sII zebra, qui se remarquait fortement, une magnifique Fiat Coupé 16v turbo, une Vauxhall Victor Super d’importation suisse ainsi que la carcasse du même modèle, en rouge. Entre les citadines et camionnettes se trouvaient aussi un Chevy C10 de 1990, et une BMW M5 de 2004. Par ailleurs, il y avait aussi une grosse présence de bateau et aussi quelques modèles de jet-skis totalement noyés par les intempéries.

IMPRESSION

Ce genre de lieu sont toujours de petits plaisirs pour ma part, le fait de découvrir et essayer d’identifier chaque auto reste intéressant. Malgré ça, soit doit être un mauvais coup, car comme dit plus haut, il pleut toujours, ou fait vraiment mauvais lors des explorations de ces lieux entièrement en extérieur.

Merci à Thibault

© Les photos présentes dans cet article sont protégées par le droit d’auteur.

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